« Beaucoup d’entre eux mendient et ne sont pas autorisés à rentrer à la maison jusqu’à ce qu’ils aient recueilli une certaine somme d’argent. Ces enfants viennent des familles les plus pauvres en Syrie, et leur situation n’a fait que se détériorer en étant transposée à un environnement étranger. Il est encore plus difficile de trouver du travail ici. »