Après plus d’une année dans un hôtel, les locataires de cet immeuble rue Saint Pierre sont autorisés à entrer quelques minutes dans leur appartement pour récupérer des affaires. Les services municipaux sont venus leur ouvrir le cadenas du bâtiment, mais celui-ci n’a pas suffit : ils découvrent que leurs logement ont été squattés et saccagés pendant leur délogement. Virginie tient au creux de sa main un minuscule écrin, désespérément vide : "Mon dieu, à l'intérieur il y avait... il y avait la première dent de lait de mon fils. Elle est perdue."