Confinés
Le vendredi 13 mars, toutes ces familles ont appris qu’elles avaient deux jours pour trouver une solution : dès le lundi 16 mars, les enfants seraient à plein temps à la maison, et les grands-parents interdits de visite. Il fallait s’organiser pour occuper les enfants et maintenir le ménage à flot. Entre système D, jonglage et fatalisme, ces familles ont réussi à s’adapter.
Elisabeth et Stéphane ont revêtu le rôle de professeur avec le soutien des maîtresses de leurs filles, afin d’assurer une transmission du savoir dans les meilleures conditions possibles et le moins de perturbation pour les enfants. La famille D, dont les deux parents sont indépendants et empêchés de travailler, a décidé de prendre les choses avec le sourire et de voir venir. Mme I jongle entre son métier qu’elle peut exercer en ligne et la charge de ses enfants en bas âge.
Malgré les difficultés financières anticipées et les journées chaotiques et minutées, toutes ces familles gardent le sourire et s’offrent même parfois des moments de détente.
Voici leurs histoires.