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Hanan est enceinte de quatre mois et espère donner naissance à son enfant en Turquie. « Parce que je suis plus proche ici de ma famille, restée en Jordanie. J’apprécie également d’être ici, et je me habitue à la vie en Turquie. Je ne veux pas tout recommencer ailleurs. » Interrogée pour savoir si elle va envoyer son enfant à l’école turque ou dans une école syrienne, elle répond sans hésiter: « à l’école turque ».
Publié dans : Réfugiés syriens à Istanbul : des existences en exil